Yumi Fujitani & Nicolas Moulin
PhotosDanse Butô et musique live.
Le Butô est la danse d’avant-garde dans le Japon underground de 1959, Yumi Fujitani a donné son premier spectacle en France en 1985 avec la compagnie Ariadone (dirigée par Ko Murobushi et Carlotta Ikeda ). Elle a quitté la compagnie en 1995. En 1995, le Butô est déjà plus répandu en France qu’au Japon. Elle s’installe à Paris en 1996. Danseuse de la troisième génération du butô, elle développe sur cet art une réflexion et une approche personnelles.
Elle expérimente alors de nouvelles formes d’expressions corporelles, à travers la voix , l’art du clown, les arts plastiques et la vidéo. Improvisatrice, la transversalité des arts lui apporte un souffle et un regard nouveaux sur la danse contemporaine et l’art butô en particulier.
Désormais, elle s’interroge sur le Butô d'aujourd'hui. Sa proposition lors de ce stage n’est pas axé sur la forme de danse, ni sur le Butô formel appliqué. Un travail sur la marche, la colonne vertébrale, le bassin, la plante des pieds, l’axe, le corps invisible et l’immobilité et suspendu, le corps déséquilibre et équilibre,et le lâcher prise. Un travail en profondeur sur la respiration ainsi que les muscles et ses différent perceptions tactiles. Un travail d’état de Transe, d’être cru/soi-même. Une recherche sur sa propre énergie et ressentir, Prendre conscience de l’atmosphère, de devenir l’espace et les matières sur une base d’improvisation. Dans un esprit d’écoute (de soi et des autres). L’esprit commence à écouter, l’âme commence alors à danser....comment sortir des rails de la normalité.
Le Butô est la danse d’avant-garde dans le Japon underground de 1959, Yumi Fujitani a donné son premier spectacle en France en 1985 avec la compagnie Ariadone (dirigée par Ko Murobushi et Carlotta Ikeda ). Elle a quitté la compagnie en 1995. En 1995, le Butô est déjà plus répandu en France qu’au Japon. Elle s’installe à Paris en 1996. Danseuse de la troisième génération du butô, elle développe sur cet art une réflexion et une approche personnelles.
Elle expérimente alors de nouvelles formes d’expressions corporelles, à travers la voix , l’art du clown, les arts plastiques et la vidéo. Improvisatrice, la transversalité des arts lui apporte un souffle et un regard nouveaux sur la danse contemporaine et l’art butô en particulier.
Désormais, elle s’interroge sur le Butô d'aujourd'hui. Sa proposition lors de ce stage n’est pas axé sur la forme de danse, ni sur le Butô formel appliqué. Un travail sur la marche, la colonne vertébrale, le bassin, la plante des pieds, l’axe, le corps invisible et l’immobilité et suspendu, le corps déséquilibre et équilibre,et le lâcher prise. Un travail en profondeur sur la respiration ainsi que les muscles et ses différent perceptions tactiles. Un travail d’état de Transe, d’être cru/soi-même. Une recherche sur sa propre énergie et ressentir, Prendre conscience de l’atmosphère, de devenir l’espace et les matières sur une base d’improvisation. Dans un esprit d’écoute (de soi et des autres). L’esprit commence à écouter, l’âme commence alors à danser....comment sortir des rails de la normalité.